Il n’existe malheureusement pas encore de médicament contre la démence. Il est pourtant de plus en plus évident que le risque de démence chez la personne âgée peut être considérablement réduit par un mode de vie bénéfique au cerveau à l’âge adulte (40 à 75 ans). Un élément important à cet égard est de conserver un cœur en bonne santé. De cette façon, on fait coup double : pour le cœur et le cerveau. Ou 2 pour le prix de 1.
Le comité « démence » de la revue internationale The Lancet a publié un premier rapport en 2017 dans lequel il écrivait : « Soyez ambitieux en matière de prévention ! »
Il estimait que 30 % de cas de démence pourraient être évités ou retardés par un mode de vie plus sain pour le cerveau. En 2020, cette proportion a été a portée à 40 %.
Parallèlement aux conclusions du Lancet, les chercheurs examinent en permanence les facteurs liés au mode de vie individuel. En mars 2025, ont été publiés les résultats d’une recherche visant à déterminer si la consommation de noix réduisait le risque de démence. Les conclusions s sont avérées positives. Manger régulièrement des noix diminue les risques.
Les recherches et publications ne portent pas seulement sur ce qui réduit le risque de démence, mais aussi sur ce qui est néfaste pour la santé. Ces derniers mois, plusieurs publications ont souligné à quel point les aliments ultra-transformés sont nocifs pour la santé globale, et donc aussi pour la santé du cerveau.
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